
Le printemps vire au jaune, bientôt les coquelicots vont arriver, en masse espérons-le.
Des boutons d’or et des iris, dans des lumières du soir.








Saisir un moment, une lumière, une atmosphère, et tenter de les rendre : "Photographier, ce n’est pas regarder, c’est ressentir" (Don McCullin)
Le printemps vire au jaune, bientôt les coquelicots vont arriver, en masse espérons-le.
Des boutons d’or et des iris, dans des lumières du soir.
Quelques photos de fleurs de pommiers, dont je me dit parfois qu’elles ont quelque chose d’aussi intrigant que les orchidées. Alors malheureusement sans le talent de Mapplethorpe, une tentative de rendre quelque chose de la fleur du pommier.
Quand on arrive devant cette clairière, qui ne figure pas sur les cartes, on comprend l’engouement / vénération des japonais pour le cerisier. Dans le soleil, dans la lumière légèrement brumeuse de cet après midi là, c’était somptueux.
« … comme une des fêtes singulières, poétiques, éphémères et locales qu’on vient de très loin contempler à époques fixes, mais celle-là donnée par la nature. Les fleurs des cerisiers sont si étroitement collées aux branches, comme un blanc fourreau …. »
Il y a ce Haiku de Ryokan : Tout autour de (moi) / le monde n’est plus que/ fleur de cerisier [99 Haikus, Éditions Verdier, 1986]
Petit essai de jeu avec les flous, continuant à jouer avec Pollock, peut-être Klimt ?