
Le printemps vire au jaune, bientôt les coquelicots vont arriver, en masse espérons-le.
Des boutons d’or et des iris, dans des lumières du soir.








Saisir un moment, une lumière, une atmosphère, et tenter de les rendre : "Photographier, ce n’est pas regarder, c’est ressentir" (Don McCullin)
Tentatives de restitution des sensations générées par l’environnement, « naturel » rural ou urbain
Le printemps vire au jaune, bientôt les coquelicots vont arriver, en masse espérons-le.
Des boutons d’or et des iris, dans des lumières du soir.
Le Canal Vire et Taute, de nouveau. Il pleuvait et le ciel était gris, et bas, au dessus du canal. Mais il y avait des iris et le parfum de l’aubépine voyageait sur le vent. Il y avait aussi quelques pêcheurs, sans doute poussés là par la pluie.
Au retour insistant concert de grenouilles, très nombreuses par endroits. Quelques cigognes aussi, un peu loin pour l’optique que j’avais
Il n’y a pas de fête des fleurs de pommiers, nulle part, pourtant un verger de pommiers en fleurs est un spectacle splendide. Tous les normands seront d’accord là-dessus, et les visiteurs de la Normandie au mois de mai (avril depuis que la température se réchauffe… ). Quoi qu’en dise la chanson les pommiers en fleurs donnent dans le rose, du moins tant qu’il y a des boutons. Et les fleurs sont un régal.
Il y a deux clairières, avec des cerisiers. La seconde est aussi fleurie, éclatante, et le ciel est entièrement dégagé.
Ce haïku de Issa : Sous les fleurs de cerisiers/personne n’est vraiment/ un étranger
Cerisiers en fleurs, lumière changeante… J’ai pensé à un poème de Basho : « De temps en temps les nuages/ nous reposent/ de tant regarder la lune ». Je me suis dit :
« De temps en temps les cerisiers/ nous reposent/ de tant regarder le monde ». Une fois par an….
Ballade dans les marais de la Dives, temps pluvieux, ciel gris, et puis deux cygnes passent au-dessus de moi. La grâce, et la puissance, l’air siffle dans leurs plumes.
Poursuivant l’exploration des marais normands, au bord du canal de la Vire
Parcours dans les marais de la Dives en ces premiers jours de Mars. Temps couvert, il fait froid et il y a du vent. Quelques photos.
Mardi 21 février, le brouillard stagne aux alentours, Ouistreham prend des airs de mystère.