Festival de marionnettes de Dives (RéciDives 2016) [Mâtin, quel Festival !]
On entre, on s’assoit, le noir se fait, le silence aussi…, le spectacle nous ouvre à un monde, celui des auteurs, des artistes, du (ici, c’est plutôt « de la ») metteur en scène , du scénographe , puis arrive le tableau final, on applaudit, on applaudit encore, et encore…
La première fois que je suis arrivé dans la salle Mandela elle était presque entièrement vide, et lumineuse. En un peu plus d’une journée elle a été transformée en salle de spectacle : scène, plateau, ponts, branchements électriques, éclairage, stockage temporaire derrière la scène….
Un petit « coup d’œil – coup de chapeau » sur le travail des techniciens, des régisseurs, qui construisent le cadre, l’écrin dans lequel tout un monde encore inconnu va faire irruption, le règlent, l’adaptent et puis, le lendemain, le démontent pour que tout soit comme si rien ne s’était passé.