
De nouveau à Jumièges, pour le cadre de l’abbaye et une exposition de photographes libanais et une installation. L’installation (de Hala Wardé, architecte et artiste photographe libanaise) dans le cadre des ruines de l’abbaye, sublime : sonorisée elle invite à la halte, à l’écoute, au regard contemplatif. Précédée par une série de photographies de vieux oliviers que l’on contemplerait pendant des heures pour suivre les replis des creux, des écorces, des branches…. (En cherchant sur internet on apprend qu’il y a au Liban des oliviers millénaires, certains auraient près de 6000 ans !) A Roof of Silence.





Et une exposition de photographes libanais, autour de la désagrégation de la société et de l’état libanais : « Au bord du monde Vivent nos vertiges« . Beau travail bien mise en valeur par une scénographie très réussie, bien dans le sens des œuvres. La présence visages de pierre, abimés le plus souvent, issus des ruines de l’abbaye répond magnifiquement aux œuvres présentées, particulièrement la série des masques. Quelques photos.


