Étiquette : Fabrique
Performances
C’était un soir, invité pour une performance réunissant des danseurs, musiciens, chanteurs, incapable de trouver une façon de rendre quelque chose de ce qui s’y passait, j’avais décidé de faire des photos destinées à être superposées, je m’y suis essayé pendant de longues séances de photoshop…. finalement cela a donné quelques images, puis d’autres séances ont suivi, d’autres danseurs, d’autres musiciens.
Images de performances, une série issue de ces essais. merci aux artistes que je ne connais pas toujours, aux compagnies Nèphèsh, Eteille, l’orchestre du Doc pour avoir accepté ma présence pendant ces performances.
Ces images sont exposées su des grilles dans le quartier du Chemin-Vert à Caen, avec d’autres photographies du collectif « Objectif image 14 », 7 regards sur le Chemin-Vert, quartier où se trouve « La Fabrique », lieu qui accueille des artistes en résidence.
Attack the space (2)
C’est un temps de répétition, un orchestre « expérimental » (OMEDOC / Orchestre de Musique Expérimentale du DOC) [« Le mot « expérimental » est adéquat, pourvu qu’il soit compris non pas comme décrivant un acte qu’il faudra juger ultérieurement en termes de succès ou d’échec, mais simplement comme un acte dont le résultat est inconnu » John Cage – C’est sur une des pages de « Attack the Space« ].
Il y a une dizaine de musiciens et une dizaine de danseurs, éclairés dans le noir par des lampes qui s’allument de façon plus ou moins aléatoire, qui semblent construire des tableaux imprévus, mais quand même travaillés et répétés côté musiciens et danseurs. Comment un photographe peut-il rendre compte de cette « expérience » ? Une tentative de réponse.
Le Cabaret de la Zone
C’est bientôt la fin du Festival Normandie Impressionniste. Les « Fabriques et Lieux Intermédiaires » de Caen ont marqué l’événement par une soirée Cabaret très réussie !
Bien sûr ça commence par une descente d’escalier (bien descendu, ma foi !) et la soirée s’est poursuivie par des présentations multiples qui se sont sont succédées à un rythme rapide, sans que la qualité en souffre.
Un petit aperçu photographique.
Festival Jacquard #2
Festival Jacquard, deuxième édition, organisé de main de maître par la Fabrique et la Centrifugeuz. Danse, musique, expositions, le jardin d’Achille, performances…. Monsieur Loyal qui annonce les présentations, les concerts…. Superbe journée, beau temps ou presque, diversité et qualité.
Quelques photos, dans le désordre : Danse Remix (Cie Olivier Viaud), La voiture bleue [orange] (Charlotte Leroy), Danse Contact (Le Poulpe), Chant turc « néo-traditionnel » (Serkan Uyar [sensation !]), musique [électro] tibétaine (Ujjayia), etc….
Fête de la musique – La danse aussi
Fête de la musique à la Fabrique culturelle (Caen – Quartier du Chemin-Vert, ancien collège Jacquard). Parmi les multiples activités qui ont attiré de nombreux habitants du quartier, « l’Open Dance ». La compagnie Icizéla a invité la Compagnie Laflux, qui a proposé un temps d’Open Dance, accompagné par le groupe « Les clés de la Ford Marron » sur un plateau improvisé sous le préau de l’ancien collège.
Beau « moment » (façon de parler ce moment a duré quatre heures) de musique et de danse, pendant lequel le plateau était ouvert à tous ceux qui souhaitaient y intervenir.
Geste – Gestes
Quelques photos du travail d’un peintre (Bernard Legay en résidence à la Fabrique, quartier du Chemin vert à Caen). Saisir le geste du peintre au travail. Pas nouveau en soi mais nouveau pour moi. Comment nait une toile, par la préparation de la matière, dans le geste mesuré, l’improvisation apparente, l’intention qui évolue, la résistance des choses, de la matière, du mouvement…, Pas plus que dans aucune autre activité de création, regarder, voir, ne permet d’appréhender le processus de création….
Du coup je repense à cette phrase d’un peintre chinois (Shitao) : « Si loin que vous alliez, si haut que vous montiez, il vous faut commencer par un simple pas. Aussi, l’Unique Trait de Pinceau embrasse-t-il tout, jusqu’au lointain le plus inaccessible et sur dix mille millions de coups de pinceau, il n’en est pas un dont le commencement et l’achèvement ne résident finalement dans cet unique trait de pinceau dont le contrôle n’appartient qu’à l’homme.« (Shitao : Les propos sur la peinture du moine Citrouille-amère, page 9)