Eclats de Rue – Projet PDF

Eclats de Rue : comme un festival annuel des arts de la rue à Caen, et qui cette année interroge particulièrement la place des femmes dans l’espace public. Dès l’ouverture au travers d’une carte blanche à un collectif (Projet.PDF) en résidence pour un travail de création en cours.

Extrait du programme d’Eclats de Rue

[Des femmes, nombreuses, qui se portent, voltigent, et donnent corps par leur pratique acrobatique à la sororité, la solidarité, le dépassement de la peur, l’effort physique ; des acrobates qui bousculent les codes classiques du rapport artistes-publics, et questionnent les stéréotypes autour des corps et des rôles dits féminins, portées par une énergie collective, sensible et explosive.
Ce n’est pas un spectacle, c’est un événement !
]

Quelques photos de moments de répétitions, là où au coucher du soleil des dizaines de hannetons se mettent à voler dans tous les sens.

RéciDives – Festival de marionnettes – Montage et Démontage…

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Festival de marionnettes de Dives (RéciDives 2016) [Mâtin, quel Festival !]

On entre, on s’assoit, le noir se fait, le silence aussi…, le spectacle nous ouvre à un monde, celui des auteurs, des artistes, du (ici, c’est plutôt « de la ») metteur en scène , du scénographe , puis arrive le tableau final, on applaudit, on applaudit encore, et encore…

La première fois que je suis arrivé dans la salle Mandela elle était presque entièrement vide, et lumineuse. En un peu plus d’une journée elle a été transformée en salle de spectacle : scène, plateau, ponts, branchements électriques, éclairage, stockage temporaire derrière la scène….

Un petit « coup d’œil – coup de chapeau » sur le travail des techniciens, des régisseurs, qui construisent le cadre, l’écrin dans lequel tout un monde encore inconnu va faire irruption, le règlent, l’adaptent et puis, le lendemain, le démontent pour que tout soit comme si rien ne s’était passé.

 

Filage – lumières – quelques ajustements de la manipulation des marionnettes à taille humaine… Spectacle (ici « Cendres » [compagnie Plexus Polaire – Mise en scène Yngvild Aspeli….], doit venir pour le festival des Boréales à Caen : s’y précipiter !!!!).

Adaptation de la salle pour le spectacle suivant, puis, quand tout est fini, démontage….

Merci aux techniciens, à Joël et François, à la compagnie Plexus Polaire.

Le CREAM est devenu le Sablier, en fusionnant avec l’Espace Jean Vilar, Le Sablier, un Pôle des arts de la marionnette en Normandie. Le site du Sablier est ici

Festival Jacquard #2

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Festival Jacquard, deuxième édition, organisé de main de maître par la Fabrique et la Centrifugeuz. Danse, musique, expositions, le jardin d’Achille, performances…. Monsieur Loyal qui annonce les présentations, les concerts…. Superbe journée, beau temps ou presque, diversité et qualité.

Quelques photos, dans le désordre : Danse Remix (Cie Olivier Viaud), La voiture bleue [orange] (Charlotte Leroy), Danse Contact (Le Poulpe), Chant turc « néo-traditionnel » (Serkan Uyar [sensation !]), musique [électro] tibétaine (Ujjayia), etc….

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Impression : Chemin faisant

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Douze photographes (amateurs) de « Objectif Image 14 », le collectif caennais dont je suis adhérent ont conduit un projet d’ampleur dans le cadre du festival « Normandie Impressionniste« . Présenter les personnes engagées dans la vie associative du quartier, celles et ceux qui font vivre le quartier, qui en construisent le lien social et en font un endroit où les habitants se sentent bien.

Si les photos exposées sont importantes, et les premiers contacts ont montré que tout le monde en est content, la qualité des relations qui se sont nouées avec les habitants engagés dans les associations a fait de ce projet une très riche expérience humaine.

Bon article dans Ouest France du 12 mai

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Déambulation du 14 juillet – Allebrilles

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En clôture du festival de marionnettes de Dives, qui fêtait son trentième anniversaire, la compagnie « Les grandes personnes » proposait une déambulation avec des marionnettes géantes, lumineuses, animées, accompagnées par des masques qui assuraient leur liberté de mouvement. 22 heures 30, c’est parti vers Port Guillaume où un feu d’artifice sera tiré lors de l’arrivée du cortège. C’est joyeux, curieux, tranquille… le plaisir des marionnettes, et de leur côté rappel de l’enfance sans doute. C’est lumineux, animé, beau comme un prélude à un feu d’artifice…. Beau comme la rencontre… des marionnettes et de la lumière dans les rues d’une petite ville de bord de mer.

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Les grandes personnes c’est ici

ORBN – IMEC Récital littéraire : Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre

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Dans le cadre des Boréales,

Récital littéraire à l’IMEC, lecture de pages du roman de Ruta SEPETYS : « Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre » roman de la déportation de Lituaniens au goulag en Sibérie en 1941. La lecture était illustrée au piano par des pièces brèves de Gavin Mikhail (compositeur américain). Sous les voutes de la grange aux dîmes le texte et le piano résonnaient de façon très émouvante. 

Jeanne-Marie Golse (Membre de l’Orchestre Régional de Basse-Normandie) : Piano ; Jean-Marc Talbot (comédien)  : Récitant.

Quelques photos du filage

Les garçons sauvages (répétition)

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Répétition aux Ateliers Intermédiaires, avant la présentation au festival de danse à Paris « Faits d’Hiver » d’une série de solos tous interprétés par des danseurs différents (31 janvier – 1 et 2 février) d’un solo de Alexandre Bibia : « c’était l’heure où l’essaim des rêves malfaisant tord sous leurs oreillers les bruns adolescents ». Chorégraphie de Camille Ollagnier.

Tensions extrêmement contrôlées avant une explosion d’énergie.