
Le ver de soleil au-dessus d’une mer de nuages dont les vagues se fracassent sur les falaises de Clécy. La brume persiste un moment au dessus de l’Orne, le long des falaises.







Saisir un moment, une lumière, une atmosphère, et tenter de les rendre : "Photographier, ce n’est pas regarder, c’est ressentir" (Don McCullin)

Le ver de soleil au-dessus d’une mer de nuages dont les vagues se fracassent sur les falaises de Clécy. La brume persiste un moment au dessus de l’Orne, le long des falaises.








Brève ballade en forêt, Saint Martin de Sallen, vers la fin de l’après midi, le feuillage, les fougères, lé soleil qui descend que l’on ne voit pas, sinon par les rayons qui s’accrochent aux feuilles. S’avancer hors des sentiers ou des chemins. Apparemment il n’y a pas de chasseur.
Une phrase de Giuseppe Penone dans une petite brochure (paroles d’artistes – FAGE éditions) : « C’est un bon sentier que celui qui se perd dans un taillis d’arbustes qui se referment vite derrière le passant… » et plus loin : « La clarté du sentier bien tracé est stérile » ou bien : « Le sentier disparu est bien celui qu’il faut parcourir, le but est de perdre le sentier pour le retrouver et le parcourir à nouveau… » [page 34]
Pour recevoir la lumière des feuilles, deviner les cascades de fougères il faut s’enfoncer dans le sous-bois, au hasard.











Lumière d’automne en forêt, pluie d’après midi, soleil déclinant.





C’est l’été, mais les coquelicots courbent la tête…. quoique la pluie leur aille bien me semble-t-il






