
La brume l’hiver, au-dessus de la vallée de l’Orne, la regarder changer le paysage.





Saisir un moment, une lumière, une atmosphère, et tenter de les rendre : "Photographier, ce n’est pas regarder, c’est ressentir" (Don McCullin)

La brume l’hiver, au-dessus de la vallée de l’Orne, la regarder changer le paysage.






Passant par l’Abbaye de Jumièges, presque par habitude, découvrir l’abbaye au travers des nuages proposés par Laurent Grasso (exposition dans toute l’abbaye).






Un temps incertain, un ciel chargé, mais quelle lumière…







Petit tour à Ouistreham, quelques photos, comme un état du ciel (de ses nuages) et de la mer, de ses couleurs) à marée haute.






Un montage pour une exposition.
Commencé comme un jeu en temps de confinement : le ciel, de ma fenêtre, à différentes heures du jour, du matin ou du soir, puis dans un rayon de 1Km, et quelques ajouts plus tardifs.
Un jeu avec les couleurs, les teintes des ciels, variables, complexes, en introduisant des monochromes aux couleurs issues de ces ciels pour jouer avec les limites, pour chercher le moment où le monochrome se perd dans le ciel. Et un clin d’œil aux carré# sur fond#.
Peut-être aussi un jeu avec le temps, dans l’opposition du ciel aux couleurs complexes, changeantes avec la course du soleil, ciel déjà changé, toujours là et jamais le même, versus le parfait monochrome, constant, comme une vaine tentative de nier le cours du temps.
Un jeu sur la limite, en ces temps de dérèglement climatique : comment savoir que l’on n’a pas encore dépassé la limite ultime de la planète quand la limite est parfois si difficile à percevoir ?
Plus simplement 25 haikus sur la course du soleil, le ciel et les nuages.

Les plages normandes sont à la fois des lieux touristiques esthétiques et des endroits porteurs d’une mémoire tragique. Si la lumière s’y prête cela peut être très beau.









