
Passant sur la presqu’île, les modifications sont sensibles, des travaux : le démontage des grues, et sur les friches la vie qui continue.











Saisir un moment, une lumière, une atmosphère, et tenter de les rendre : "Photographier, ce n’est pas regarder, c’est ressentir" (Don McCullin)

Passant sur la presqu’île, les modifications sont sensibles, des travaux : le démontage des grues, et sur les friches la vie qui continue.












Le canal de Vire et Taute, de nouveau, entre le port des Planques et La Rivière. Belle lumière par moments.






(par la chemin de halage qui est surtout une bande de terre sur laquelle on pratique la culture intensive des orties. Ne pas entreprendre sans un pantalon suffisamment épais.)




Le Canal Vire et Taute, de nouveau. Il pleuvait et le ciel était gris, et bas, au dessus du canal. Mais il y avait des iris et le parfum de l’aubépine voyageait sur le vent. Il y avait aussi quelques pêcheurs, sans doute poussés là par la pluie.
Au retour insistant concert de grenouilles, très nombreuses par endroits. Quelques cigognes aussi, un peu loin pour l’optique que j’avais





Poursuivant l’exploration des marais normands, au bord du canal de la Vire





Matin tôt, lever de soleil, il fait froid et la température de l’eau est supérieure à celle de l’air. La brume s’élève et les rayons du soleil jouent avec les vapeurs qui montent, et déstructurent le paysage.





Et puis pour finir, un petit pommier et ses fleurs, presque aussi subtile qu’une orchidée.
