Passant le long de l’Orne, un moment de lumière magnifique comme cela arrive, mais, le temps de trouver une place pour me débarrasser de ma voiture, parcourir quelques dizaine de mètres, cruelle expérience de tous les amateurs de photographie, la lumière est labile…. surtout en mars.
2 réflexions au sujet de « Tête de la Presqu’île »
Bonjour
J’imagine sans peine (pour la lumière disparue) … >>> la lumière qui perce les nuages gros de pluie qui n’attendent que de décharger toute cette eau.
Bonjour
J’imagine sans peine (pour la lumière disparue) … >>> la lumière qui perce les nuages gros de pluie qui n’attendent que de décharger toute cette eau.
Oui c’était un lumière à peine dorée, qui tombait très bien ! on sait tous combien c’est fragile