
Profitant d’une journée de soleil, retour sur un de mes terrains de jeux favoris : « La Bataille ». Il avait un peu plu et de l’eau s’était glissée dans certaine flaques, mais pas grand chose de plus, sinon que tout reste sec.









Et puis en feuilletant un recueil de poèmes de René Char : « Il faisait si chaud cet été là que même les feuilles mortes venaient boire l’eau des bêtes dans les plats de terre ». (Eloges d’une Soupçonnée p184)
