PEYREPERTUSE – QUERIBUS

Promenade dans les ruines du château de PEYREPERTUSE. Majestueuses, comme un grand vaisseau de pierre invitant à l’exploration. Quelques photos.

Et puis QUERIBUS. Sur son nid d’aigles de roches haut perchées. En plein vent ! Mise en garde dès l’entrée : « Attention il y a un vent très très fort ! ». Il est même plus fort que ça ! Dans la montée déjà, puis lorsque l’on arrive sous une porte qui sert d’accélérateur de vent on est brusquement poussé dans le dos dans les marches, contre le mur plus haut. Sensations fortes. Des visieturs renoncent, une grand mère et son petit fils (10-12 ans) sont projetés dans les marches, perdent l’équilibre, la grand-mère se rattrape tant bien que mal, le garçon doit son salut à une main secourable.

La « Porte du vent »

Le reste n’est pas beaucoup moins impressionnant à visiter dans le bruit et les poussées du vent. Vivre ici n’a pas dû être drôle tous les jours, même en temps de paix.

Pour le reste, je ne sais pas bien que penser des Cathares, qu’a représenté ce mouvement ? a-t-il vraiment existé au point d’être une hérésie dangereuse ?

La Bataille « Encore »

Profitant d’une journée de soleil, retour sur un de mes terrains de jeux favoris : « La Bataille ». Il avait un peu plu et de l’eau s’était glissée dans certaine flaques, mais pas grand chose de plus, sinon que tout reste sec.

Et puis en feuilletant un recueil de poèmes de René Char : « Il faisait si chaud cet été là que même les feuilles mortes venaient boire l’eau des bêtes dans les plats de terre ». (Eloges d’une Soupçonnée p184)