Ce n’est pas le coefficient du siècle, mais je passais par là. L’Orne à marée haute, vue depuis le pont proche de Pegasus Bridge. Vers l’aval (ci-dessus) et vers l’amont.
C‘était un matin d’hiver, entre deux longues périodes de zones de tempêtes, un matin de brume, qui finit par se lever pour révéler au dessus de la vallée de l’Orne une grande écharpe de nuage qui semblait agitée par une tempête menaçante, qui semblait vouloir tout engloutir. Mais les vagues de nuages sont moins destructrices que les tempêtes de la Manche ou de l’Atlantique. Bien sûr la brume finit par se dissiper
Petit tour dans les champs, au bord de l’Orne, il ne faisait pas très chaud ce matin-là. La lumière des levers de soleil semble générer des cristaux de glace, qui poussent sur la végétation. Symphonie dans les gris.