
Par un temps humide, passage dans un des vieux cimetières de Caen, le cimetière des Quatre-Nations (référence aux quatre paroisses qui créèrent le cimetière en 1785 [wikipédia]), qui n’est plus qu’un lieu de promenade, sorte de ruine urbaine en plein air, où la végétation et les pierres brisées des tombes de la bourgeoisie caennaise du XIXème siècle composent un environnement harmonieux.
Quelques photos







Et puis il y avait cette pierre tombale, brisée, sans nom, sur laquelle on avait déposé une fleur de crocus, amenée spécialement ? (je n’ai pas trouvé le plant de crocus dont elle aurait pu être retirée).
