Petit tour au Mont Saint-Michel, quelques changements qui font penser à « Beaucoup de bruit pour rien », des travaux massifs, pour faire du mont une île deux fois une heure par jour les bonnes semaines,et encore, en attendant la montée des eaux. Et des remparts une vue qui n’en finit pas de changer, et d’enchanter ceux qui connaissent comme ceux qui découvrent
et on finit par arriver dans le cloître, en allant vite on peut l’avoir tranquille pendant deux minutes….
cboisnardphotographies 
Bien oui j’aime … je ne peux faire qu’aimer car j’en ai un souvenir mémorable du haut de mes …. 4 ans 😀
La montée de la marée et cette déferlante d’eau (à l’époque) ont tellement du me marquer que bien des années plus tard j’en ai rêvé, deux jours de suite. Lors du 1er rêve j’étais frustrée de m’être réveillée avant de voir la mer arriver comme un cheval, au grand galop (c’était vrai dans le temps). Alors le lendemain mon inconscient a reprit le rêve et là, je l’ai revue.
Mais ce que j’aimerais c’est de pouvoir y retourner un jour puis de shooter les environs dans un léger voile de brume.
Merci pour ces images
Elle arrive parfois très vite (mais pas comme un cheval au galop quand même) , au moment des grands coefficients, elle monte vite et est précédée d’une belle vague, pas très haute (rien à voir avec certaines vagues très haute, du genre de celle qui remontait la Seine) mais qui peut faire jusqu’à 50 – 60 cm je pense, elle fait un bruit très caractéristique dans ce cas là, et elle dégage beaucoup d’énergie. Dans les grands coefficients il y a toujours du monde pour regarder, écouter, profiter… Parfois il faut prendre sa place dans les endroits les plus spectaculaires au moins une heure avant la vague (le mascaret).