Il y a quelque chose de fascinant dans le spectacle de la reconquête du terrain par la végétation. Celle-ci semble exploser ces deux dernières années, elle dévore l’usine et en ce printemps troublé, cela a quelques chose d’un rappel : « Vous n’êtes que de passage ».
Depuis mon précédent passage le niveau de l’Orne a sensiblement baissé.